Éric Fruteau

Législatives : seul le rassemblement des réunionnais peut garantir des avancées fortes pour notre île !

Le 07 mai 2017 un nouveau Président de la République a été choisi par une majorité de Français. Cette élection ne peut dissimuler une situation qui interpelle. Elle est autant le reflet de l’expression de populations victimes d’un quotidien de misère et sans espoir que de celle d’une jeunesse en quête d’un renouveau. A La Réunion, au premier puis au deuxième tour, les Réunionnais ont exprimé leur volonté de changer de politique et de faire les choses différemment. Il nous faut entendre ces messages populaires.

Demain La Réunion n’a cessé de plaider pour le rassemblement des Réunionnais et pour l’émergence d’un nouveau projet de société répondant aux exigences démocratiques nouvelles, de développement de notre île et d’épanouissement de tous. Puissions-nous espérer une digne considération de notre île durant les cinq prochaines années !

Il convient désormais d’élire nos députés. Nous sommes concernés par sept circonscriptions. La question fondamentale qui se pose est de savoir quelle sera la représentation législative pour La Réunion et pour défendre quel projet ? L’enjeu est énorme et les défis à surmonter nombreux. Seul le rassemblement des Réunionnais peut garantir des avancées fortes pour notre île.

Fidèle à ses orientations progressistes et humanistes, Demain La Réunion milite pour un projet partagé, construit autour d’un rassemblement progressiste. Or, les élections passées (Européennes, départementales, régionales, premier tour des élections présidentielles) ont montré que la division des progressistes est propice à la droite, à l’extrême droite et à l’abstention.

Ainsi, au-delà des élections présidentielles, Demain La Réunion souhaite une représentation réunionnaise progressiste forte à l’Assemblée Nationale et estime que l’union des progressistes réunionnais est fondamentale pour contrer l’hégémonie d’un projet libéral et extrémiste. Les élections législatives peuvent être l’occasion d’initier une nouvelle démarche porteuse d’espoir au-delà des divergences.

Demain La Réunion regrette que les candidats des partis progressistes n’aient pu s’entendre et privilégier l’union dès le 1er tour dans l’ensemble des 7 circonscriptions de La Réunion. Cela aurait été une occasion essentielle de créer une dynamique globale de victoire et ainsi dresser de nouvelles perspectives avec l’espoir d’un nouveau progressisme réunionnais.

Demain La Réunion

Saint-André, le 31 mai 2017

La vérité éclate : la justesse de mon combat reconnue !

Le conseil des Ministres (du mercredi 25 septembre) a annoncé officiellement les dates des prochaines élections municipales. Elles auront lieu les 23 et 30 mars 2014 (je note que le gouvernement a repoussé les dates de 3 semaines). Au vu de ces dates je ne pourrai donc pas me présenter à ces élections. A 12 jours près.

Suite à cette injustice, je suis donc privé du droit de défendre mon bilan. Je rappelle que mon inéligibilité fait suite à la décision du Conseil Constitutionnel qui a pris une décision emprunt d’inégalité et privant certains mais pas tous du droit de se présenter aux prochaines élections municipales. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai saisi la CEDH pour contraindre l’état français à changer la loi rétablissant ainsi l’égalité entre les candidats. Tout laisse à croire que la loi du 14 avril 2011 sera modifiée dans ce sens.

D’ailleurs le CC lui-même, dans ses observations faites au gouvernement en juillet dernier au sujet des dernières élections législatives de 2012 (citer le texte du Conseil Constitutionnel), reprend mes propos et recommande au législateur de suivre mes demandes en changeant la loi.

J’ai reçu également le soutien de l’AMF qui reconnait la rupture d’égalité (voire courrier de l’AMF).

Aussi le Ministère de l’Intérieur indique qu’il va falloir une modification de la loi. Il indique que comme j’ai écrit qu’il y a un véritable problème !

1. Le Conseil Constitutionnel le 11 juillet 2013 dans ses observations relatives aux élections législatives dit (voire site du CC) : « … la sanction d’inéligibilité n’a pas du tout la même portée pour tous les candidats déclarés inéligibles... », « ...il serait souhaitable que le législateur prévoie que le point de départ de la période au cours de laquelle le candidat est inéligible est la date de l’élection... »

2. L’Association des Maires de France dans un courrier adressé à Eric FRUTEAU le 27 Août 2013 dit : « J’ai lu avec intérêt votre dossier ; je comprends votre sentiment d’injustice ». «...j’ai noté que le conseil constitutionnel conscient de la difficulté, souhaite que le point de départ soit la date de l’élection, « pour éviter de trop grandes disparités » et une rupture d’égalité, et fait appel au législateur pour modifier la loi en ce sens... »

3. Le Ministère de l’intérieur dans un courrier adressé à Eric FRUTEAU le 10 septembre 2013 dit : « Le conseil constitutionnel observe que les délais de jugement conduisent, comme vous l’avez souligné, à une inégalité entre les candidats déclarés inéligibles ». « Le gouvernement examine actuellement cette recommandation qui a pour but une stricte égalité entre la candidats... ». « En tout état de cause, une disposition législative sera nécessaire pour sa mise en œuvre ».

A propos de ces différentes correspondances je souhaite dire :

1) Je me suis toujours battu sur des valeurs de LIBERTE, de JUSTICE, d’INTEGRITE et d’EGALITE, de DEMOCRATIE. Ces valeurs, je les ai toujours défendues.

2) Je note que dans cette affaire il y a atteinte à un principe fondateur de la République. Il y a atteinte à l’égalité. Je suis aujourd’hui une VICTIME de cette atteinte au principe de l’égalité. J’ai été jugé sur la base d’une loi inégale. Il y a bien une INJUSTICE. Je paie les conséquences d’une mauvaise loi qui a été apparemment construite sans tenir compte de tous les paramètres et des conséquences pour des élus engagés dans la vie locale. On a mis en place une loi inégale. C’est pour cela que la CEDH doit rétablir l’égalité

3) Le CC s’en sort par une pirouette technique sans réparation pour les élus concernés. On tente de régler le problème d’inégalité par une pirouette… cela montre bien l’embarras dans lequel se trouve le CC et le législateur sur cette question de rupture d’égalité. Quel est cet état de droit qui est capable de reconnaître qu’il produit de l’inégalité, mais qui n’est pas capable de réparer ?

4) Les hautes autorités reconnaissent aujourd’hui qu’il faut changer la loi. Je note quand même la GRAVITE de la situation. On a porté atteinte à un principe fondateur de la République. Vous vous rendez bien compte que l’on a une élection en France qui n’a pas garantit l’égalité entre les candidats !

5) C’est donc une 1ère VICTOIRE ! LA VERITE : la justesse de mon combat reconnue. Grâce à mon action, c’est l’ensemble da la République qui bénéficierait d’un changement de loi inégalitaire (celle du 14 avril 2011).

Eric FRUTEAU

Injustice d'une décision : je saisis la Cour Européenne des Droits de l'Homme !

Comme vous le savez mes adversaires ont tout fait pour m’empêcher de me présenter aux prochaines élections municipales de 2014. C'est ainsi que suites aux législatives le juge de l’élection m’a déclaré inéligible pour une durée d'un an à compter du 12 avril 2013. Ainsi, Maire de Saint-André, cette décision m’interdira de me présenter au suffrage universel direct si les prochaines élections municipales ont lieu avant le 12 avril 2014.

Cette décision a entraîné dans l’opinion beaucoup d’interrogations, de questionnements et d'incompréhensions tant le sentiment d’injustice est grand. Les gens ont été nombreux à me soutenir et à m’encourager. D’autant que des causes bien plus graves n’ont pas produit les mêmes effets, que le principe d’égalité entre les candidats à une élection législative (celle de 2012) et au regard de prochaines élections municipales s’en trouve bafoué.

C’est fort de ce soutien que j’ai décidé de saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Par cette saisine, je demande qu’on rétablisse la justice et l’égalité dans l’application d’une décision du Conseil Constitutionnel qui, au-delà de ses conséquences sur mon engagement municipal, rompt de façon flagrante, l’égalité devant la loi entre tous les justiciables, entre l’ensemble des citoyens de la République.

En effet, une telle décision, porte atteinte au droit de mandat (donc au suffrage universel) : puisque les possibilités de candidature s’en trouvent lésées de façon discriminatoire. Il y a opportunité et non égalité car privant de liberté de se présenter certains et pas tous ; cette décision influe de façon arbitraire sur le corps électoral.

De plus, c’est l’illustration même d’une décision inéquitable. Pourquoi pour d’autres élections, le droit à un débat contradictoire, le droit à la défense, le droit à une audience, et à l’examen des arguments contradictoires existe-t-il ?

Enfin, il y a rupture en droit, car ni recours, ni appel ne sont possibles.

De toute évidence des principes consacrés par l’article 14 de la convention européenne des droits de l’homme et le protocole n°12 n’ont pas été respectés alors même que le Conseil Constitutionnel a lui-même consacré le principe d’égalité des citoyens devant la justice dès 1975.

Par conséquent, mon combat est maintenant celui du rétablissement de la justice, pour barrer la route à l’injustice.

Je reste disponible pour Saint-André. Je remercie tous ceux qui me soutiennent.

Sincèrement,

Eric FRUTEAU

Injustice d'une décision : je saisis la Cour Européenne des Droits de l'Homme !

Comme vous le savez mes adversaires ont tout fait pour m’empêcher de me présenter aux prochaines élections municipales de 2014. C'est ainsi que suites aux législatives le juge de l’élection m’a déclaré inéligible pour une durée d'un an à compter du 12 avril 2013. Ainsi, Maire de Saint-André, cette décision m’interdira de me présenter au suffrage universel direct si les prochaines élections municipales ont lieu avant le 12 avril 2014.

Cette décision a entraîné dans l’opinion beaucoup d’interrogations, de questionnements et d'incompréhensions tant le sentiment d’injustice est grand. Les gens ont été nombreux à me soutenir et à m’encourager. D’autant que des causes bien plus graves n’ont pas produit les mêmes effets, que le principe d’égalité entre les candidats à une élection législative (celle de 2012) et au regard de prochaines élections municipales s’en trouve bafoué.

C’est fort de ce soutien que j’ai décidé de saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Par cette saisine, je demande qu’on rétablisse la justice et l’égalité dans l’application d’une décision du Conseil Constitutionnel qui, au-delà de ses conséquences sur mon engagement municipal, rompt de façon flagrante, l’égalité devant la loi entre tous les justiciables, entre l’ensemble des citoyens de la République.

En effet, une telle décision, porte atteinte au droit de mandat (donc au suffrage universel) : puisque les possibilités de candidature s’en trouvent lésées de façon discriminatoire. Il y a opportunité et non égalité car privant de liberté de se présenter certains et pas tous ; cette décision influe de façon arbitraire sur le corps électoral.

De plus, c’est l’illustration même d’une décision inéquitable. Pourquoi pour d’autres élections, le droit à un débat contradictoire, le droit à la défense, le droit à une audience, et à l’examen des arguments contradictoires existe-t-il ?

Enfin, il y a rupture en droit, car ni recours, ni appel ne sont possibles.

De toute évidence des principes consacrés par l’article 14 de la convention européenne des droits de l’homme et le protocole n°12 n’ont pas été respectés alors même que le Conseil Constitutionnel a lui-même consacré le principe d’égalité des citoyens devant la justice dès 1975.

Par conséquent, mon combat est maintenant celui du rétablissement de la justice, pour barrer la route à l’injustice.

Je reste disponible pour Saint-André. Je remercie tous ceux qui me soutiennent.

Sincèrement,

Eric FRUTEAU

Législatives : large victoire du camp du progrès !

Les Réunionnais ont élu ce soir les 7 députés qui représenteront notre Département à l’Assemblée Nationale pour les 5 prochaines années.

Je salue la victoire des forces de progrès dans les 4 circonscriptions concernées par ce deuxième tour. Victoire qui vient renforcée celle de Huguette Bello et de Patrick Lebreton lors du 1er tour.

Je note que pour la 1ère fois La Réunion sera représentée par 3 femmes. C’est là aussi un grand progrès dans la vie politique de notre île.

Dans les 5ème et 6ème circonscriptions où nous avons appelé à voter pour les candidats de la majorité présidentielle, Jean-Claude Fruteau et Monique Orphé, les résultats des forces de progrès sont éloquents. Je les félicite pour leur victoire et leur souhaite bon travail pour cette mandature législative.

A Saint André le score réalisé par ces candidats est autour de 65%. C’est un échec pour ceux qui ont soutenu durant les 5 dernières années l’UMP et sa politique antisociale et ultralibérale.

Au-delà de ces résultats, je souhaite rappeler que la situation à La Réunion (surtout dans l’Est) est particulièrement grave. Le fort taux de chômage (spécialement chez les jeunes), le manque de logements, l’exclusion et la vie chère, les retards structurels, les difficultés des collectivités locales contraintes financièrement, sont autant de problèmes à régler dans les prochaines années.

Plus que jamais, un projet global, cohérent et adapté s’impose au vu de l’ampleur de la situation.

Puissions-nous trouver en nos parlementaires élus les relais à l’Assemblée Nationale pour porter le cri d’alarme des Réunionnais qui ont placé ce soir et le 06 mai dernier beaucoup d’espoir dans le changement.

Eric FRUTEAU

Merci à tous pour votre confiance !

Le taux de participation est globalement faible sur la France sur l’ile, et dans la 5ème circonscription.

Au regard des résultats, avec Monique TACOUN je remercie l’ensemble des électeurs de la 5ème circonscription pour leur confiance. C’est une première candidature aux législatives et les chiffres sont encourageants. Nous remercions tous les militants pour leur soutien et leur mobilisation.

Je remercie le peuple saint-andréen pour la confiance accordée à leur Maire. Le Maire de Saint-André reste largement majoritaire sur sa ville (cantons 2 et 3) malgré un redécoupage qui le prive d’un potentiel de voix (canton 1).

Nous notons des résultats intéressants et prometteurs pour l’avenir dans d’autres communes de la 5ème circonscription.

Les électeurs de la 5ème ont fait un choix. Il s’agit de le respecter.

Nous déplorons qu’une candidature de division nous prive du second tour. Il faudra que chacun en tire les leçons.

Nous avons mené une campagne propre et notre candidature a été une candidature de conquête pour l’avenir.

Pour le 2ème tour, nous appelons à faire battre le candidat qui n’est pas de la majorité présidentielle. Sans ambigüité mon cœur est à gauche. J’appelle donc à voter pour Jean-Claude Fruteau.

Pour nous le combat continue. Au vu des difficultés que rencontre notre île, plus que jamais un projet réunionnais de développement s’impose. Nous y veillerons.

Eric FRUTEAU

Et si c’était elle/lui : Eric Fruteau Et si c’était elle ? Et si c’était lui ?

Ci-dessous retrouvez l'interview réalisé par Gilette AHO de Zinfos974 :

 

La saison des élections s’achève avec les législatives qui se dérouleront les 10 et 17 juin prochain. La parité est visible dans le gouvernement de Jean Marc Ayrault. 17 femmes et 17 hommes. Il ne pouvait pas faire mieux ! Et si on rêvait d’une Assemblée nationale avec un même équilibre ? L’espoir fait vivre ! Pour ce faire, nous avons voulu questionner 7 candidates sur les 70 postulants. Le choix n’a pas été facile ! Et patatras dans la 7ème circonscription aucune femme n’a présenté sa candidature ! Alors il a fallu jouer autrement : sélectionner des femmes et des hommes autour du thème de l’égalité homme/femme. Une manière de dévoiler l’équilibre masculin/féminin qu’ils portent en chacun d’eux.

Eric FRUTEAU cinquième circonscription. Maire de Saint André et Conseiller Général, Eric Fruteau veut faire entendre la voix de l’Est depuis la cinquième circonscription à l’Assemblée Nationale. Ambitieux et téméraire, rien ne l’arrête. Pour lui le renouvellement passera par les femmes mais pour l’instant c’est lui qui occupe la place !

Vous vous présentez aux élections législatives, qu’est ce qui a motivé votre décision ?

Je suis impliqué dans la vie politique depuis mon plus jeune âge. Mon engagement militant pour plus de justice sociale et pour plus de solidarité me pousse à défendre un projet de développement global et cohérent pour La Réunion. De même la souffrance du territoire de la 5ème circonscription et de sa population m’oblige aujourd’hui à réagir pour défendre l’Est et Saint Philippe. Je me suis présenté pour porter haut la voix réunionnaise à l’assemblée nationale et pour qu’elle soit différente du bipolarisme.

Pensez-vous qu’une femme fait de la politique autrement qu’un homme ?

Non. Dans la dynamique politique, il n’existe plus de frontière entre les genres : féminin et masculin. Nous sommes sur le même plan. L’organisation de la société est aussi bien pour les hommes comme pour les femmes. La politique est une question de conviction, de volonté, d’engagement pour la chose publique et l’intérêt général. Lorsque je suis sur le terrain, mon approche est la même pour une femme ou pour un homme. La population n’est pas divisée, il n’y a pas d’un côté les hommes et de l’autre les femmes.

Le gouvernement de F. Hollande a relancé le ministère des droits des femmes, qu’elle serait la décision que vous proposerez à Najat Vallaud-Belkacem en faveur des femmes réunionnaises ?

Il faut surtout être vigilant pour faire avancer une loi cadre, pour donner les moyens matériels, humains et juridiques aux femmes pour lutter contre les violences conjugales mais aussi de façon général contre le harcèlement. Les femmes et les hommes doivent trouver un rempart lorsqu’ils sont victimes ! Je milite aussi pour l’égalité salariale entre les femmes et les hommes. Au niveau de l’égalité homme/femme, je veux faire entendre la voix de l’Est de La Réunion en métropole.

Le Président de la République est favorable sur l’ouverture du mariage à tous les couples et sur l’homoparentalité, voterez-vous dans ce sens si vous représentez La Réunion à l’Assemblée Nationale ?

Oui. Chaque être humain doit être libre de faire ces choix. La loi doit permettre à chacun de vivre sa vie comme il l’entend, tout en respectant le choix de chaque individu. La loi ne se mêle pas de la sphère privée des citoyens mais elle lui garantit une meilleure protection.

Vous définiriez-vous comme féministe ?

Je me définie comme un humaniste et je suis pour le renouvellement de la classe politique. Notre micro région a besoin d’un nouveau souffle, un véritable projet de développement durable ambitieux et adapté pour La Réunion. Ce renouvellement passera par les femmes. J’ai sollicité Monique Tacoun pour être ma suppléante. C’est une femme passionnée, intègre. L’année dernière, une autre femme, Michèle Caniguy souhaitait se présenter comme conseillère générale, elle a du faire face à neuf hommes dans le premier canton de Saint André, là encore, j’ai tout fait pour l’accompagner à la victoire

Votez et faîtes voter Eric FRUTEAU et Monique TACOUN !

Une Réunion unie et rassemblée à l’assemblée nationale

Le Député non d’un clan, d’un parti, d’une corporation ou d’une association, mais des réunionnais !

Paris doit désormais entendre ce cri d’alarme. Rien ne peut plus être comme avant ! Prêts à assumer, à prendre nos responsabilités.

Unité et rassemblement pour l’avenir. POU FE AVANS LA REUNION ! Pou fé avans l’Est et Saint Philippe !

Votez et Faîte voter Eric FRUTEAU et Monique TACOUN

Eric FRUTEAU et Monique TACOUN pou fé avans La Réunion ! (4)

L’Est demain c’est :

a. Le vivier de l’île pour la sécurité alimentaire

b. Le TT : commencer par l'Est au titre du rééquilibrage es microrégions !

c. Le réseau hydraulique interconnecté avec des microturbines (pour l'autonomie énergétique) : 350 M€

d. L’OTI et ses antennes : déjà en cours

e. Le TCSP : 110 M€ de Bras Fusil à Quartier Français

f. La Maison des basculements des eaux : un projet touristique pour l'Est et Salazie

g. L’école de soins infirmiers : enfin !

h. Les zones économiques et aménagés pour créer des emplois pérennes

i. 10 200 logements pour les 10 prochaines années pour loger notre population

Nous nous engageons à défendre ces projets.

Eric FRUTEAU

 

Eric FRUTEAU et Monique TACOUN pou fé avans La Réunion ! (3)

L'ère de la responsabilité !

Une nouvelle gouvernance pour préparer efficacement les négociations avec l’Etat et l’Europe dès 2013 et réussir nos projets jusqu’à 2020.

a. Etat régulateur, ni censeur, ni providence

b. Codécision

c. Triple appartenance et triple solidarité pour financer nos projets

d. Un nouvel acte de la décentralisation

Eric FRUTEAU

Meetings de Eric FRUTEAU et de Monique TACOUN

Venez nombreux avec les candidats du changement, de l'Est et de Saint Philippe !

Mardi : à 17H30 à Bras Fusil à Saint Benoit et à 18H30 à Cité Lamarque à Saint André

Mercredi : à 17H30 à Grand Canal et à 18H30 à Rivière du mât les hauts à Saint André

Jeudi : à 17H30 à Rue des limites à Bras Panon et à 18H30 à Ravine creuse à Saint André

Vendredi : grand meeting de clôture à Saint André Chez Cécile ROBERT au centre ville

 

Eric FRUTEAU et Monique TACOUN pou fé avans La Réunion ! (1)

A Sainte Rose lors d'une réunion de Quartier

Un programme cohérent et pragmatique

Traiter l’urgence sociale et lutter contre l’exclusion pour offrir un socle social non friable sur lequel construire le développement de notre île.

a. La cohésion sociale passe par la création emplois durables (grands travaux, économie marchande, Economie sociale et Solidaire, fonction publique)

b. Priorité aux jeunes réunionnais

c. Solidarités envers les personnes vulnérables.

d. Le droit à la santé

e. Garantir le pouvoir d’achat

Eric FRUTEAU

Sur le terrain à Piton

Construire un destin commun : La Réunion, espace global de développement durable et solidaire

Avec Monique TACOUN

Eric FRUTEAU et Monique TACOUN ont présenté ce jour leur programme pour les législatives dans la 5ème circonscription. Face à la gravité de la situation sociale et économique à la Réunion, ils proposent d’ériger notre région en un espace global de développement durable et solidaire.

Trois conditions sont indispensables pour relever ce défi. D’abord, la lutte contre toutes formes d’exclusion et la première des exclusions c’est le chômage. Il nous faut donc donner clairement la priorité à l’emploi aux jeunes réunionnais aussi bien dans le public que dans le privé. Tous les secteurs créateurs d’emplois à la fois traditionnels (l’agriculture, le tourisme) et innovants (les énergies renouvelables, les TIC, le service à la personne, l’environnement) doivent être soutenus.

Parce qu’ils sont sources d’emplois pour les réunionnais les grands travaux tels le tram-train doivent être relancés. Développer durablement notre ile c’est diminuer voire s’affranchir de l’influence des facteurs externes, Il nous faut ainsi travailler à l’autosuffisance alimentaire, l’autonomie énergétique et à la réduction de la fracture numérique. Dans le domaine de l’emploi, les candidats du camp du progrès social ont rappelé que l’Etat devait donner clairement l’exemple et recruter localement dans la fonction publique.

Pour lutter contre la vie chère, Eric FRUTEAU propose d’en finir avec les monopoles et de faire enfin la transparence sur la formation des prix. Il faut garantir aux familles réunionnaises un prix accessible pour les produits de première nécessité. L’accent doit être mis également sur la solidarité envers les plus vulnérables et la nécessité de rattraper le retard en matière de logement social et intermédiaire.

Pour réussir « La Réunion, espace de développement durable et solidaire » la deuxième condition est la possibilité d’adapter la gouvernance de notre ile en consacrant une nouvelle étape de la décentralisation pour plus de proximité et de démocratie locale. Il faut sortir d’une logique de peur et de défiance pour une logique de la confiance au génie réunionnais. Cette nouvelle dynamique pourra être mise en œuvre grâce à un cadre législatif permettant un exercice intelligent du droit à l’expérimentation et à l’adaptation des normes à la réalité locale. La troisième condition est une mobilisation optimale des mécanismes de solidarités financières, entre l’Europe, la France et la Réunion (ZFU, POE, péréquation verticale) et au cœur de notre territoire entre les microrégions (fonds réunionnais de développement, péréquation horizontale). C’est ce que le candidat à la députation s’engage à faire une fois élu.

Armé de ce projet réunionnais construit avec la population, Eric FRUTEAU affirme qu’il sera un député de terrain, ancré dans la réalité locale, relais des habitants de la microrégion et de la Réunion. Avec sa suppléante, Monique TACOUN, il sera l’interlocuteur des élus locaux (conseillers municipaux, généraux, régionaux et intercommunaux), pour que les initiatives enfin libérées, viennent impulser à l’assemblée nationale des propositions de lois dont les concrétisations sortiront la Réunion de l’impasse où elle se trouve.

Parce qu’il ne sera embrigadé dans aucun des 2 grands partis nationaux, Eric FRUTEAU défenseur de la cause réunionnaise veillera à ce que les engagements pris par le nouveau président se traduisent effectivement par des actes à même d’engager l’Est, Saint-Philippe et la Réunion sur la voie du changement.

Correspondant

Construire un destin commun : La Réunion, espace global de développement durable et solidaire

Avec Monique TACOUN

Eric FRUTEAU et Monique TACOUN ont présenté ce jour leur programme pour les législatives dans la 5ème circonscription. Face à la gravité de la situation sociale et économique à la Réunion, ils proposent d’ériger notre région en un espace global de développement durable et solidaire.

Trois conditions sont indispensables pour relever ce défi. D’abord, la lutte contre toutes formes d’exclusion et la première des exclusions c’est le chômage. Il nous faut donc donner clairement la priorité à l’emploi aux jeunes réunionnais aussi bien dans le public que dans le privé. Tous les secteurs créateurs d’emplois à la fois traditionnels (l’agriculture, le tourisme) et innovants (les énergies renouvelables, les TIC, le service à la personne, l’environnement) doivent être soutenus.

Parce qu’ils sont sources d’emplois pour les réunionnais les grands travaux tels le tram-train doivent être relancés. Développer durablement notre ile c’est diminuer voire s’affranchir de l’influence des facteurs externes, Il nous faut ainsi travailler à l’autosuffisance alimentaire, l’autonomie énergétique et à la réduction de la fracture numérique. Dans le domaine de l’emploi, les candidats du camp du progrès social ont rappelé que l’Etat devait donner clairement l’exemple et recruter localement dans la fonction publique.

Pour lutter contre la vie chère, Eric FRUTEAU propose d’en finir avec les monopoles et de faire enfin la transparence sur la formation des prix. Il faut garantir aux familles réunionnaises un prix accessible pour les produits de première nécessité. L’accent doit être mis également sur la solidarité envers les plus vulnérables et la nécessité de rattraper le retard en matière de logement social et intermédiaire.

Pour réussir « La Réunion, espace de développement durable et solidaire » la deuxième condition est la possibilité d’adapter la gouvernance de notre ile en consacrant une nouvelle étape de la décentralisation pour plus de proximité et de démocratie locale. Il faut sortir d’une logique de peur et de défiance pour une logique de la confiance au génie réunionnais. Cette nouvelle dynamique pourra être mise en œuvre grâce à un cadre législatif permettant un exercice intelligent du droit à l’expérimentation et à l’adaptation des normes à la réalité locale. La troisième condition est une mobilisation optimale des mécanismes de solidarités financières, entre l’Europe, la France et la Réunion (ZFU, POE, péréquation verticale) et au cœur de notre territoire entre les microrégions (fonds réunionnais de développement, péréquation horizontale). C’est ce que le candidat à la députation s’engage à faire une fois élu.

Armé de ce projet réunionnais construit avec la population, Eric FRUTEAU affirme qu’il sera un député de terrain, ancré dans la réalité locale, relais des habitants de la microrégion et de la Réunion. Avec sa suppléante, Monique TACOUN, il sera l’interlocuteur des élus locaux (conseillers municipaux, généraux, régionaux et intercommunaux), pour que les initiatives enfin libérées, viennent impulser à l’assemblée nationale des propositions de lois dont les concrétisations sortiront la Réunion de l’impasse où elle se trouve.

Parce qu’il ne sera embrigadé dans aucun des 2 grands partis nationaux, Eric FRUTEAU défenseur de la cause réunionnaise veillera à ce que les engagements pris par le nouveau président se traduisent effectivement par des actes à même d’engager l’Est, Saint-Philippe et la Réunion sur la voie du changement.

Correspondant

Daniel HONORE soutient Eric FRUTEAU et Monique TACOUN

Daniel HONORE a préfacé le livre de Eric FRUTEAU

Daniel Honoré écrivain et militant culturel bénédictin lors du meeting tenu à Saint Benoit vendredi dernier a fait l’éloge d’Eric FRUTEAU et de Monique TACOUN pour leur dynamisme, leur honnêteté et leur capacité à relever les défis qui attendent la microrégion Est. Rappelant ses souvenirs et les relations fraternelles qui l'ont liées à André MARMOUTOU et Carlo FRUTEAU il demande aux électeurs d'accorder leur confiance à ce binome. Les seuls motivés pour Sortir l'Est et Saint Philippe dans le fénoir !

Les nombreuses familles présentes ne manquent pas d’applaudir chaleureusement le témoignage de cette personnalité de Saint-Benoît, comme elles le feront pour le discours de la suppléante.

Correspondant

Législatives 2012 : Pour une Réunion unie à l'assemblée nationale !

Meeting de Saint Benoit

Les enjeux, les défis à relever, ne laissent pas la place à l’erreur. Les élections législatives doivent être l’occasion de proposer un projet porteur d’espoir, d’espérance pour notre jeunesse et pour l’ensemble des réunionnais.

Pou fé avans La Réunion il faut un projet. Il nous faut rassembler et s’unir pour porter avec fierté ce projet à l’assemblée nationale. Il faut donc des élus capables de fédérer et de rassembler. Alors oui je serai le député non pas d’un parti pou d’un clan. Je ne serai pas le député d’une corporation ou d’une association mais le député de l’ensemble de la 5ème circonscription. Un député capable de porter cette voix réunionnaise au-delà des clivages et des appartenances.

Pour une Réunion unie à l’assemblée nationale osons sortir du bipolarisme et faisons ensemble le changement le 10 juin prochain !

Eric FRUTEAU

Législatives 2012 : Eric FRUTEAU et Monique TACOUN pou fé avans La Réunion ! (1)

Face à tous les problèmes que nous rencontrons il est impératif de proposer une alternative responsable et un projet de développement global et cohérent ! Ce projet s’appuiera sur une approche réaliste

• Un seul intérêt : le développement de La Réunion, de l’Est et Saint Philippe.

• Une ligne efficace et pragmatique. C’est la ligne du progrès social et du développement durable, de l’égalité collective et économique La voix des réunionnais à l’assemblée nationale doit sortir du bipolarisme ; elle doit être différente des deux grands partis. Elle doit être plurielle.

Le « NON » (exprimé à 60% dans les urnes par les réunionnais en 2005) doit être représenté afin d’exercer la vigilance nécessaire contre toute dérive.

Eric FRUTEAU

Législatives 2012 : Il faut gagner le pari du développement de l’Est et de Saint Phlippe

Réunion de quartier à ravine Creuse

L’Est et Saint Philippe souffrent d’un double handicap :

• Souffrent du retard de La Réunion par rapport à la métropole

• Souffrent du retard par rapport aux autres microrégions

Tirer les conclusions de l’inefficacité, de l’immobilisme, de la passivité de ceux qui ont été aux responsabilités depuis les années 80 dans cette microrégion : c’est l’objectif.

Contourner les pièges et les alliances contre-nature qui ne feront que retarder ou repousser les changements nécessaires. Mais ces changements finiront par émerger ! Et je le dis, ceux qui s’opposent à nous aujourd’hui se positionnent comme des adversaires du développement de l’Est et de Saint Philippe, comme futurs opposants au progrès comme d’autre l’ont été dans le passé.

Un nouvel élan est nécessaire pour La Réunion. Pour l’Est. Ce souffle nouveau, cette impulsion ne peut que naître de la dynamique lancée par Saint André en 2008. Et non par ceux qui ont participé à la décadence de notre microrégion et qui sont à bout de souffle.

Eric FRUTEAU

Après le 06 mai : la lutte pour le développement durable et l’égalité collective commence !

Avec Monique TACOUN en réunion de quartier

Comme en 1946 nous sommes à la veille de grands changements Comme en 1946 : une série d’élections précèdent les grandes décisions Il nous faut rassembler et unir le peuple réunionnais au-delà des clivages pour préparer efficacement l’avenir.

• L’avenir c’est dès l’année prochaine les négociations avec l’état (Contrat de Plan Etat région) et l’Union européenne (Programme Opérationnel Européen) pour fixer les dotations nous permettant de mener nos projets jusqu’à 2020.

• L’avenir ce sont les élections générales de 2014 qui détermineront les élus qui auront la responsabilité de mettre en place ces projets pour 6 ans.

• L’avenir ce sont les réponses apportées face aux grands enjeux et défis à venir.

Il nous faut donc gagner le pari du développement et de l’égalité collective et économique – Mettre fin aux retards structurels et préparer les grandes transitions : démographique, environnementale, énergétique, sociale et économique.

Dans un environnement mondial en mutation déplaçant le centre de gravité de l’économie mondiale vers les nouvelles grandes puissances, La Réunion ne doit pas être passive, prendre toute sa place et adapter sa démarche pour ne pas s’isoler. Améliorer ses relations avec l’état pour rayonner et répondre au défis futurs…

Eric FRUTEAU

Sortir l’Est et Saint Philippe du fénoir !

Samedi dernier, en début de soirée, c’est devant une salle comble au restaurant de l’anse des cascades que notre camarade Eric FRUTEAU, candidat aux législatives et sa suppléante Monique TACOUN ont inauguré leur 1er meeting de campagne.

Après avoir sillonné la 5ème circonscription depuis plus de 3 mois et tenu plus de 50 réunions de quartier, le candidat a choisi la commune de Sainte-Rose pour poursuivre cette rencontre avec la population de la Région Est et de Saint-Philippe. Un accueil chaleureux et en musique a précédé les discours.

Pendant un quart d’heure, c’est d’abord, Monique qui a décliné avec passion, les raisons de son ralliement à Eric FRUTEAU. Elle a souligné son dynamisme, son intégrité et son engagement pour l’Est. « Il faut renouveler la classe politique pour sortir notre micro région du fénoir dans lequel il se trouve depuis trop longtemps a-t-elle précisé. Les habitants de Saint-Benoît, de l’Est, de Saint-Philippe ont droit à une vie meilleure».

Puis c’est autour du candidat Eric FRUTEAU de prendre la parole pour rappeler l’urgence sociale et le retard en infrastructures dont souffre cette belle région de l’ile. « Il faut un souffle nouveau à notre micro région, il faut un véritable projet de développement durable ambitieux et adapté pour la Réunion », a-t-il martelé sous les applaudissements de la salle. L’emploi local, la priorité pour la jeunesse, la préservation du pouvoir d’achat ont été les thèmes clés de son intervention. « Pour que nos enfants aient un avenir meilleur, pour que nos jeunes aient un emploi, pour que nos anciens soient mieux accompagnés, il faut dépasser les clivages politiques, en finir avec les divisions, se rassembler pour donner une espérance à l’ensemble de la population. Et je veux être le candidat de ce rassemblement, pour la victoire du progrès social, de la justice et de l’égalité individuelle.»

Correspondant